Après un accident, de simples vergetures ou après une opération suite à un cancer ou une réduction mammaire, il est possible de camoufler des cicatrices.
Il faut bien sûr que ces cicatrices soient présentes depuis longtemps, qu’elles soient blanches et donc qu’elles n’évoluent plus. C’est au cas par cas. Chaque situation est différente et l’acte de tatouage sera possible, ou pas… de même pour le type de motif qui sera choisi pour recouvrir ces cicatrices. Tout n’est pas possible.
Nous aurons le choix entre recouvrir véritablement une cicatrice, détourner l’attention (en faisant un tatouage qui ne recouvrira pas toute la cicatrice mais qui permettra tout de même de l’oublier), ou en reconstruisant par exemple un mamelon abimé par une opération ou carrément manquant.
Voici l’exemple d’une cliente venue pour reconstruire des mamelons en partie disparus suite à une réduction mammaire (nous l’appellerons Sylvie).
Sylvie a subi une opération il y a 20 ans, une réduction mammaire, qui a mal évolué puisqu’un de ses mamelons s’est nécrosé. Il a fallut opérer de nouveau afin de reconstruire le mamelon manquant, en utilisant en partie celui qui était sain.
L’opération a réussi mais esthétiquement, les mamelons étaient en partie manquants.
Il y a eu des tentatives de repigmentation (par des médecins) mais ça n’a pas tenu.
Sylvie ne savait pas qu’il était possible de pousser la porte d’un salon de tatouage pour régler son souci esthétique. C’est en regardant notre site internet, et en voyant les couleurs utilisées par Célaré dans ses tatouages aquarelle qu’elle s’est dit qu’avec des couleurs proches de la couleur de la peau, c’était peut-être possible!